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Message par Carol Cecil Dim 28 Sep - 18:27




Carol Cecil


Carol Cecil 736091carol2
"Corps Fragrances"


Nom : Carol (prénom mixte en anglais) Cecil (nom de famille)
Avatar : Sous forme humaine, Hugh Vidler
Age : 30 ans d’existence. Son apparence d’homme garde ses 18 ans
Groupe : Océanique Crystal
Fidélité : Aux Parfums-Souvenirs. Et à Sarah.
Rang : Corps Fragrances
Art : Son corps-parfum, ainsi que les parfums créés à partir de lui, influencent les états d'esprits.

Signes distinctifs : il n’a plus de corps à proprement parler


Portrait en Quelques lignes



Caractère :

Carol a gardé son âme d’enfant. Il a la morale des êtres surnaturels, des fées et des farfadets. C’est un bébé-ogre. Des bébés, il a la candeur et la spontanéité. Des ogres, il a la voracité et la cruauté. Il peut aimer, chérir, adorer, sans arrière-pensée. Il peut voler, harceler, frapper, sans aucun remord.

Il a l’orgueil vite blessé. Il boude souvent. Il se venge souvent. Il est complexé par son apparente jeunesse et son immatérialité permanente.

Il est aigri, amer. Il trouve la vie injuste. Les hommes aussi. Il se venge sur les plus faibles et les plus sensibles qu’il rencontre « au mauvais moment ». La cruauté, chez lui, n’a pas besoin de raison pour s’exprimer.

C’est un nuage de parfum. Il est toute en grâce et en délicatesse. La vulgarité ne lui sied pas. Carol aime le style, les gens stylés, le charme travaillé, les complexités factices. Il préfère les femmes belles et maquillées. Il déteste la laideur et la saleté. Il ne cache pas sa superficialité.

Les obsessions défilent dans son esprit. Certaines sont permanentes, comme Sarah. D’autres sont éphémères. Toutes lui inspirent une énergie folle. Il se lance désespérément dans toutes ses quêtes, en oubliant le reste. On le prend alors pour fou. Il n’est qu’ardent.

Il brûle de toute son âme. Envers et contre tout. Même quand il change d’avis. Il change souvent d’avis. Cela ne le gêne pas. Sa propre incohérence l’amuse. Il n’est pas fait pour la politique. Il ne comprend rien aux guerres de partis.

Il n’a jamais pris le temps de se pencher sur les tensions entre la Cité et la Forêt. Il sait, évidemment, qu’elles sont en guerre mais l’issue finale ne l’intéresse pas. Pas plus que les batailles ni les rébellions.

Au fond de lui, il regrette de ne pas avoir renoué avec sa famille. Les liens familiaux, chez autrui,  l’interpellent toujours.


Physique :

Son corps est un nuage de parfum très discret. Il sent timidement le bonbon acidulé. Cette corporalité lui a été donnée par le Crystal, qui a fait fuir la marque de Gaia. Sous forme de parfum, il peut s’étendre sur plusieurs mètres, quand il est détendu. Il peut se contracter dans quelques centimètres cubes, quand il est contrarié.

Néanmoins, au prix d’un effort important, il peut reprendre, pendant une heure maximum, toute ou en partie l’apparence qu’il avait lorsqu’il a donné son âme au Crystal. De loin, on ne voit pas de différence avec un homme normal. De près, on se rend facilement compte que sa peau est trop unie et ses yeux trop brillants pour être ceux d’un jeune homme normal.

Humain, il avait un physique fin et longiligne. Sans être maigre, il n’était pas épais. Cheveux noisette, yeux noisette, peau pâle… Son nez droit et ses lèvres minces étaient bien ceux d’un caucasien qui avait peu connu le soleil.



Son histoire



L’enfant boudeur grandit entre les gigatonnes de sucre, de glucose et de saccharose. Noyé dans le jaune clair, le rose layette et l’orange tendre. Ses parents sont confiseurs, ses grands frères sont gros. On lui prédit un avenir de gras.
Carol ne veut pas.
Carol regrette sa famille. A quatre ans, le petit homme a des idées de grandeur et de style.

Il rêve des ogres contés par son grand-père. Il s’imagine les provoquer, les semer dans la forêt. Loin des odeurs suaves et acidulées. Le petit poucet abandonné par ses parents a vaincu les ogres, Carol les vaincra aussi.

Un soir, quand toute sa famille est endormie, il sort de sa chambre, puis de sa maison, puis de son quartier, puis de sa ville. Dans la forêt, il jette des bonbons au citron pour retrouver son chemin. Mais la nuit devient de plus en plus froide, la forêt de plus en plus touffue. L’enfant commence à avoir peur. Et si les ogres étaient trop nombreux ? Et si les ogres avaient de nouvelles armes ? Et si les ogres avaient domestiqué de grands loups noirs ?

Il rebrousse chemin en suivant son chapelet de bonbons jaunes. Les bonbons sont pris d’assaut par les fourmis et les scarabées. Carol les trouve étranges. Il a déjà vu des insectes, mais pas tant. Pas si nombreux, pas si variés. La ville n’est pas tendre avec les toutes petites bêtes.

Il est émerveillé par la vie des miniatures. Tout son être est tendu vers eux. Il détaille chaque bonbon jeté au sol, chaque petite planète de sucre entourée de ses habitants luisants. Il n’a plus peur. Il a oublié les ogres, les loups, et la forêt.

Soudain, ses yeux s’ouvrent grand. Sur un bonbon plus gros, il y a un papillon couleur arbre. Un phalène du fusain, aux ailes écorces et aux antennes graciles. Le phalène est blessé. Une aile déchirée. Il ne peut plus voler.

Carol prend doucement l’aile abîmée entre le pouce et l’index. Le papillon se débat. Il a peur. L’enfant est fasciné par la peur du phalène. Il l’approche de son visage, de ses yeux écarquillés. Il sent la mélasse et le citron douceur dont ses parents aspergent le sucre. Pour la première fois, il a envie de goûter le citron douceur sur les pattes et le corps du phalène.

Il le met en bouche. Contre sa langue, les frémissements des pattes et du corps de l’insecte. Contre le palais, ses ailes qui se déchirent avec angoisse. Il plaque sa longue contre son palais. Des craquements légers. Un goût de sel, de chitine poussiéreuse et de poils floconneux. Et dessus, un relent de citron acidulé. Il crache la bouillie de papillon.

Gaia a vu le petit homme mangeur de papillon. Est-elle intriguée ? Fâchée ? Horrifiée ou juste étonnée ?

Sur la langue de Carol, là où il reste des bouts de phalène, Gaia imprime un tatouage en forme de cercle.


~~~
Un cri a transpercé la ville. Une stridence a traversé ses rues.

Carol ne se souvient pas de la nuit dans la forêt. Il est alité depuis des jours. Il ne perçoit plus les draps contre sa peau, le poids du duvet au-dessus des draps. Le lit et la chambre lui paraissent imperceptibles. Quand il pose un pied à terre, son pied lui semble flotter. La pierre et le froid ne le touchent plus. Parler est difficile. Il ne sent plus sa langue, sa bouche, ses dents. Il ne sent plus la faim, il n’a plus faim. Ses parents lui donnent de la réglisse et des dragées pour le faire manger. On lui glisse de la grenadine dans la bouche pour le faire boire.

Les années passent et Carol refuse de sortir. Pour lui, le monde n’est plus qu’images, sons et odeurs. Le monde a perdu sa matérialité, ses rudesses et ses douceurs. Ses parents paient des professeurs qui se rendent à son chevet. Sa famille passe quelques minutes tous les jours à le faire parler.

Et ce soleil, il ne le supporte plus. Ses rayons, sa clarté, sa luminosité non plus. On ferme les volets de sa chambre. Il se claquemure entre les pierres et le bois. L’enfant devient adolescent dans le noir d’une chambre qu’il ne quitte jamais.

Par une après-midi froide, il est seul à la maison. Le dehors lui envoie les sons de la fabrique de bonbons et les cris des enfants impatients devant les étals. Ils sont nombreux, ces enfants affamés de sucre. La famille Cecil n’a pas le temps de s’occuper de lui. Il doit manger sous peine de rester enfant toute sa vie. C’est ce que lui a dit le médecin.

Lentement, il étend ses jambes et ses bras hors de ses draps blancs. Il les déploie comme des toiles de cerf-volant emprisonné. Il fait noir. Devant lui, il sait qu’il y a des confiseries sur la table à manger qu’on a installée dans sa chambre. Il tend la main, à l’aveugle. Le paquet de bonbons tombe. Les bonbons roulent sur le sol. Ils roulent tous de plus en plus vite hors de la chambre.

Carol se lève. Il réalise qu’il a peur de la lumière. Mais il doit manger. Il ne veut pas rester enfant. Il titube sur ses jambes qui n’ont plus l’habitude de le porter. Ses os tremblent. Ses muscles retiennent leur respiration. Il marche hors de la chambre, il se tient au mur. Il avance dans le couloir.

Un rayon de lumière touche sa peau. Sa chair s’évapore.


~~~
Carol frémit dans ses rayons transparents. Il est une lumière claire, finement orangée, qui se dépose sur les coins des pierres et les rebondis des joues lisses. Une lumière triste, qui ne sait plus parler ni ressentir. Il se perd dans la Ville Blanche. Il erre dans la clarté, il s’évanouit dans l’obscurité. Il ne comprend plus le temps et les envies. Il devient une lumière sans chair et sans désir.

Il est né il y a 14 ans. Il a quitté sa famille il y a 4 ans.

Un jour sans pluie, un jour éclatant, il se souvient de qui il a été. Sa flamme se ravive. Il se réjouit, il s’étonne, il veut sourire. Au centre de lui, il y a un parfum qui flotte. Vanille et fleur d’oranger. Des fragrances de femme et de friandises d’enfant.

Il cherche frénétiquement, de ses sens invisibles, la source de ses souvenirs.

Il suit le nuage parfumé molécule par molécule. Trace de vanille par trace de fleurs d’oranger. Il s’approche du centre de la ville. Il redevient humain. Il est nu, et si grand à présent.

Il est étourdi pendant quelques secondes, de retrouver ainsi sa matérialité charnelle. Autour de lui, des gens rient, se taisent, s’indignent, s’offusquent. Mais il reprend rapidement ses esprits. Sa pudeur bafouée ne l’inquiète guère. Il cherche du nez et du regard la source des odeurs de son enfance.

A quelques mètres de lui, il y a cette cheminée haute qui souffle des nuages tièdes. Les oiseaux l’évitent. Carol sait qu’il a trouvé sa source de souvenirs. Il court vers la grosse maison délabrée d’où sortent les vapeurs parfumées. Les badauds observent cet adolescent nu qui frappe frénétiquement à la porte.

Un homme lui ouvre. Il a les cheveux blancs et l’air étonné. Le vieil homme aime le calme et la paix. Il ne comprend pas les paroles saccadées de ce jeune trublion qui lui apparait dans son plus simple appareil. Il ferme la porte presque aussitôt. Carol reste un moment interdit. Il refrappe à la porte. Le vieil homme ré-ouvre. Il semble fâché. Il menace d’appeler la police. Carol supplie de le laisser entrer. Des gardes arrivent, s’interposent et entraînent le jeune homme vers l’extérieur de la ville. Carol redevient lumière entre leurs mains. Il file vers la maison délabrée. Il refrappe à la porte. Personne ne lui ouvre. Il frappe. Les passants le regardent d’un air suspicieux. Il continue à frapper. Une fenêtre s’ouvre au premier étage. Une jeune fille passe sa tête. Après quelques secondes d’hésitation, elle lui demande ce qu’il veut. Ce qu’il est. Carol est incapable de répondre. Une voix grave demande à la jeune fille de fermer la fenêtre. Elle s’exécute. Carol est incapable de détacher son regard de la jeune fille qui a lui a fait oublier les odeurs de son enfance. Il commence à pleuvoir. Il se souvient qu’il veut entrer. Il frappe à la porte. Il a mal aux poings, à force de frapper. Il continue à frapper. Il pleut de plus en plus fort. Il frappe de ses poignets parce qu’il a blessé ses poings à trop frapper. La porte reste close. Il frappe du plat de ses mains, parce qu’il a mal aux poignets. De l’autre côté de la rue, les voisins lui crient d’arrêter. Leur chien aboie. Carol se retourne pour les écouter. Puis continue à frapper. La nuit tombe sur la Ville Blanche. Il frappe toujours. Les fenêtres s’éteignent les unes après les autres. Les gens vont dormir. Il frappe encore. Il frappe par réflexe. Il est à genoux et il frappe. Il ne sait même plus qu’il frappe. Ses poings se sont refermés. Ils saignent quand ils frappent le bois. La porte devient rouge. Elle se ré-ouvre enfin. Carol s’évanouit.


~~~

Le vieil homme s’appelle August, sa petite fille s’appelle Sarah. Il a fini par ouvrir la porte à cet embarrassant inconnu qui lui demande nourriture, vêtement et apprentissage.

Au début, August essaie de s’en débarrasser. Il ne nourrit pas les chiens errants. Encore moins les adolescents errants. Mais Carol est tenace et propose ses services « pour le reste ». Il ne sait pas en quel reste il pourrait aider mais il se propose. August en rit, August accepte. Et Sarah sourit en voyant son grand-père accepter.

Tous les jours, August apprend un peu de son art des parfums à Carol qui tous les jours s’occupe des corvées devant Sarah qui tous les jours l’observe du coin de l’œil. Le parfumeur a compris le silence des adolescents. Il s’enhardit à imaginer Carol aider sa Sarah à reprendre la fabrique de parfums. L’idée lui plait, il devient un professeur exigeant et commence à s’inquiéter. Six mois après l’arrivée de Carol, il demande où sont ses parents.

Carol ne répond pas. Il ne veut pas raconter son passé, il ne veut pas qu’August le chasse parce qu’il est tatoué. Pourquoi Gaia l’a-t-elle marqué ? Il n’en a aucune idée. Pour lui, il n’y a que le pouvoir des odeurs qui compte. Les odeurs l’ont sauvé. Et Sarah. A qui il se confie. Sarah a une idée. Une idée de jeune fille amoureuse. Une idée pas très mûrie. Elle le pousse à rendre visite au Crystal. Là-bas, dit-elle, les gens de la nature et les gens de la science se côtoient sans se battre. Là-bas, il y a des Muses qui inspirent des folies et qui soupirent des irraisons.

Carol se faufile dans le Crystal. Il est redevenu un nuage de lumière timide. Il porte en lui tous les espoirs et les candeurs de son âge. Il s’infiltre, il épie. Le Crystal le perçoit. Il cherche dans l’âme de Carol l’Art qui le meut. Parfum. Il n’y a rien de ceci dans la maison des Muses…

Le jeune parfumeur revient bredouille chez August. Il a vu des choses décadentes et merveilleuses. Il a les yeux pleins d’étoiles et les sens hallucinés. Mais pour lui, il n’y avait rien. Pourtant, au fond de son cœur, le Crystal a déposé un appel lancinant. Un jour, le parfumeur de lumière reviendra vers lui. Il le prédit.


~~~

Sarah tombe malade. Une étrange maladie, qui la cloue au lit et lui coud les paupières. Son esprit, lambeau par lambeau, tombe en morceaux. Elle devient leur Belle au Bois Dormant. Les médecins défilent à son chevet, en vain. August se ruine en soins et charlataneries. La fabrique de parfums ne sent plus rien, que la maladie et les médicaments.

Carol retourne au Crystal, un jour de désœuvrement. Sous sa forme lumière, il ne pétille plus la curiosité ni l’émerveillement. Le Crystal s’en étonne-t-il ? S’en désole-t-il ? S’en réjouit-il ? Il souffle à l’esprit de l’adolescent des idées de fragrances enchantées.

Quand Carol revient chez August, il est pris d’une frénésie créatrice qu’il n’avait jamais connue. Il passe des nuits et des jours sans dormir, à confectionner des parfums. Il les jette les uns après les autres. Il les recommence. Dose un peu plus de ceci, un peu plus de cela. Il n’est jamais satisfait. Il recalcule, reteste et refait. Il s’applique, refuse de manger, refuse de dormir. Quand il n’a plus de matières premières, il se met à voler. Il revend à bas prix son larcin. Il rachète le plus rapidement possible l’ambre et le benjoin. Il recommence ses essences, méthodiquement, hypnotiquement. Les mêmes gestes, les mêmes matières, les mêmes outils… Les proportions diffèrent, les résultats aussi. Encore et encore. Toujours et pour Sarah toujours.

Après deux nuits et trois jours de travail, épuisé, il demande à August  de faire sentir un flacon mordoré à la jeune fille. August ne comprend pas mais il obéit. Il n’a rien à perdre. Quand elle sent le parfum créé par Carol, Sarah ouvre les yeux et gémit. Les deux hommes tremblent d’espoir mais la Belle au Bois Dormant se rendort.

Fou d’espérance, le petit parfumeur de lumière retourne au Crystal. Il est certain que l’endroit lui a inspiré la création qui a fait ouvrir les yeux à Sarah. Il se glisse dans toutes les pièces, dans les moindres recoins. Pour sa jeune amie, il donnerait son âme. Le Crystal en demandait-il tant ? La marque de Gaia disparait, le nuage de lumière devient nuage de parfum. Un parfum de bonbon. Timide. Discret. Acidulé.

Il revient chez August. Et dans le parfum qui a fait ouvrir les yeux à Sarah, Carol laisse tomber un peu de lui. Quelques gouttes de son propre corps fragrance, dans le flacon mordoré. Sarah ouvre les yeux et sourit. August pleure. Il a tellement peur qu’elle se rendorme… Mais elle ne se rendort pas. Elle s’assied dans son lit et prend le vieil homme dans ses bras.

Sarah va mieux, mais elle n’est pas tout à fait guérie. Après deux jours de fête, Carol retourne au Crystal. Il veut savoir quel ingrédient, quelle essence pourrait la guérir tout à fait. Le Crystal ne lui souffle aucune réponse. Alors depuis ce jour, le petit parfumeur habite au Crystal et tous les jours, toutes les nuits, il cherche la fragrance unique qui guérira son amie.



Autres




Limitations de son art :
- l’art de Carol est de pouvoir prendre une odeur qui interfère sur le mental des gens. Il peut ainsi les rendre plus gais, plus tristes… plus admiratifs, plus confiants, plus méfiants… il peut les aider à se tenir éveillés, à s’endormir, à avoir du courage… Sans toutefois les persuader tout à fait. Cela reste de l’ordre de la suggestion (et non de la manipulation totale).
- Il peut glisser un peu de son corps-parfum dans un parfum existant, ceci pour créer des parfums qui ont un effet sur le mental des gens. Néanmoins, s’il abandonne trop de son corps, il s’affaiblit et perd de sa substance.

Muse :
Carol n'a pas de Muse au Crystal et a priori, il n'en cherche pas.

Autres :
Il est parfumeur pour le Crystal depuis 12 ans.


Le visage derrière le masque



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Dernière édition par Carol Cecil le Dim 5 Oct - 19:57, édité 7 fois

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Message par Morgan Mer 1 Oct - 16:26

Ooh très joli début d’histoire !! J’ai hâte de lire la suite !!
Et je suis toujours aussi fan de ta façon de préparer tes fiches et de ‘pas content’ Laughing

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Message par Carol Cecil Mer 1 Oct - 17:14

Laughing

Merci, j'essaie de terminer la bio ce soir alien

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Message par Charme Ven 3 Oct - 16:31

Et après c'est moi qui met des virgules partout, hein ?! Razz

J'aime déjà ce personnage (et je devais te troller Very Happy)

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Message par Carol Cecil Dim 5 Oct - 19:57

Spoiler:

Fiche terminée Very Happy

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Message par Cloud Dim 5 Oct - 20:58

Oooh c'est fini, Tu es vraiment rapide !!

Je retrouve dans ce personnage ton imaginaire d'enfant, mi cruel, mi sage, sucré et tendre, souple et volage. Ce personnage me fait un peu penser à mon petit bébé chat. Il a sa grâce, sa poésie un peu dramatique, son histoire de tristesses et de beautés. C'est une plume tendre pour un drôle d'enfant, au complexe inverse de celui du grand Peter Pan. Il est très poétique, son histoire est comme un poème, sa vie est comme une symphonie inachevé. Il inspire.

Tu as joué sur les deux tableaux qui touchent mon sensible. L'absolu et l'étrangeté de Gaia. Lui qu'elle choisit, qu'elle enferme dans une maladie, une transformation, une hybridation, comme une malédiction. Et la beauté désenchantée du Crystal, son appel lancinant, puis son emprisonnement peu à peu. Les questions rhétoriques de ton récit font sens, tu donnes beaucoup de vie au contexte et à ces deux éléments inhumains qui peuvent être difficile à percevoir. J'ai beaucoup aimé la transition entre l'un et l'autre, comment tu les mêles à ton personnage dans une certaine continuité. Il n'y a aucune brisure dans ton récit, et chaque événement est original, poétique et très touchant,

Ta plume, toute pleine de couleurs et de sucreries, est un délice à lire. Ce personnage a un absolu qui me séduit. Il est très éthéré, et pourtant plein de sentiments. Je l'imagine tellement bouder dans un coin en ronchonnant une flagrance sombre !!

Enfin, Carol Cecil c'est un chouette nom de Parfum !
Je te mets tes couleurs, ton rang, et je te valide sur le champ <3

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Message par Carol Cecil Dim 5 Oct - 21:05

Oh merciiiiiii mouton

Je suis soulagé d'avoir compris les deux autres parties du contexte (Gaia et Crystal) ^^

(Et ton commentaire est très bow *-* )

J'ai été ton premier validé, ton premier blanc, je suis ton premier bleu What a Face

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Message par Cloud Dim 5 Oct - 21:09

Et mon premier DC What a Face


Merci, tu le méritais <3

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